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Chroniques Rock
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12 février 2005

Nic Armstrong / The Greatest white liar


Nic Armstrong
The Greatest white liar

Le principal intérêt de ce premier disque de l’anglais Nic Amstrong est qu’il déjoue les pièges que réserve normalement le travail d’exhumation  d’un univers sonore, en l’occurrence le british sound des sixties. Bien sur on pensera,  à l’écoute de certains morceaux, avoir affaire à un incunable des Pretty Things ou des Them. Les archivistes des sixties risquent d’ailleurs d’adorer. Le talentueux jeune homme partageait récemment l’affiche d’une salle parisienne avec les Barracudas et Chris Wilson des Flamin Groovies. Mais, il serait dommage de résumer le travail d’Armstrong et de son méticuleux producteur (Liam Watson tenancier des studios Toe Rag, déjà à l’ouvrage sur l’ « elephant » des White Stripes) à une besogneuse resucée des trésors des sixties. Ces chansons là ne sentent pas le renfermé. L’habillage est certes d’époque mais « The greatest white liar » s’écoute comme un disque des années 2000. Ecoutez par exemple la très belle ballade « I’ll come to you ». Mais tout ceci est affaire de nuances. Et nous, on aime bien les nuances !

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